En temps de crise, 2 types d'opportunités s'offrent aux entreprises.
La première est de pouvoir se développer en s'emparant des concurrents trop légers pour traverser la tempête, mais dont les fondamentaux sont bons, sources de revenus complémentaires, de nouvelles parts de marchés... Cela permet également de pouvoir disposer de profils de collaborateurs qui ne seraient pas montés dans le paquebot autrement et qui vont apporter leurs nouveaux modes de fonctionnements.
Lorsque les valeurs Internet se sont effondrées il y a un peu moins d'une dizaine d'années, nombre de salariés qui travaillaient dans les start-up de l'époque sont partis rejoindre les bataillons des grosses entreprises solidement implantées. C'est à cette époque que la digitalisation des organisations a réellement commencé.
La deuxième est de se re-concentrer sur son coeur d'activités. D'éliminer le superflu. De travailler la rentabilité puisque la croissance devient limitée, sinon nulle. Travailler la rentabilité, c'est faire plus avec moins. Et pour le coup, la deuxième vague de webisation des organisations va se développer au cours des semaines, mois à venir. Je prends le pari que tous les sujets liés aux systèmes d'informations, au e-CRM, à la vente en ligne, à la communication on-line... ne vont pas connaître la crise. Les entreprises devront toutefois se méfier des objectifs mal définis, des projets mal cadrés, des spécifications réalisées par dessus la jambe, des réalisations qui ne s'inscrivent pas dans la durée, qui n'apportent aucune valeur ajoutée en terme de sens.
Il existe des gisements très importants d'amélioration de la rentabilité des entreprises au travers d'une bonne mise en oeuvre de projets digitaux.
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